Étude stylistique des bandes dessinées de Joann Sfar des années 2000, à travers le concept de "voix". La première partie porte sur la narration : celle-ci se développe sur plusieurs niveaux qui entrent en résonance voire en conflit. La deuxième partie porte sur l’intertextualité et la façon dont Sfar exploite ses références culturelles.
La ville d’Angoulême a connu depuis une quarantaine d’années l’expérience de sa transformation autour d’une image de marque : la bande dessinée qui s’est par la suite plus largement étendue au secteur de l’Image. Cette réflexion tend à comprendre comment la ville d’Angoulême utilise la bande dessinée pour diffuser une image urbaine attractive.
En quoi la bande dessinée s’avère-t-elle particulièrement apte à penser des univers posthumains ? Et, partant, à faire explorer de nouveaux modes d’être au lecteur ? Nous nous proposerons de répondre à cette interrogation en l’illustrant avec l’exemple d’Enki Bilal.
Mémoire technique visant à proposer une classification adaptée à la réalité éditoriale et aux attentes du public de la bande dessinée dans les bibliothèques municipales.
Le texte se présente en tant que réflexion sur les bandes dessinées qui présentent une multiplicité de styles de dessin dans ses planches. Il est divisé en trois parties : histoire de la bande dessinée hétérogène, analyse théorique, et possibilités graphiques et narratives.
Cette étude tente de définir les fonctions spécifiques des deux romans graphiques, Maus, d’Art Spiegelman et La guerre d’Alan d’Emmanuel Guibert, en les rattachant aux grandes fonctions du portrait dans l’histoire de l’art. Parce que ces auteurs les ont déjà décrits comme tels, et parce qu’ils correspondent aux définitions du genre du portrait.