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Chroniques
24 juillet 2024

Lou et Titeuf: grandir avec la bande dessinée de jeunesse

[septembre 2024]

Titeuf de Zep et Lou de Julien Neel sont deux séries de bandes dessinées parues dans la revue Tchô!, la première à partir de 1998, année de la création de la revue qui porte le nom d’une expression récurrente du personnage de Titeuf dont les aventures sont publiées chez Glénat à partir de 1993, et la seconde à partir de 2003 (le premier album de Lou paraît en 2004). Ces deux bandes dessinées ont pour particularité d’aborder le fait de grandir et les questions qui surgissent à la préadolescence et à l’adolescence. De manière singulière, elles abordent la sortie de l’enfance auprès d’un lectorat jeunesse. 

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Analyses
2 juillet 2024

Du lecteur au spectateur

Une représentation en direct permet de jouer sur l’analogie temporelle qui s’établit entre la confection d’une image, sa découverte par le spectateur et l’interprétation d’une pièce musicale. Ce constat, certes évident, engage à repenser les modes de réception des images et incidemment de création de ces images. Un nouveau champ créatif s’ouvre alors, riche en possibilités graphiques et narratives.

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Analyses
1 juillet 2024

Dossier - Représenter les violences sexuelles

[juin 2024]

Avec l'apparition du mouvement #MeToo le discours féministe a fait ressurgir une critique, vivace dès les années 1970, des représentations littéraires et artistiques propres à la « culture du viol », c'est-à-dire, un imaginaire qui érotise les rapports sexuels contraints et les rend désirables. Ce discours a également analysé un certain type d'interprétations, situées, de ces mêmes images qui auraient contribué à effacer et/ou enjoliver les traces d'une domination des corps et des esprits. 

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Analyses
28 juin 2024

Gaston Lagaffe, l’art de jouer avec la nourriture

[juin 2024]

On entend souvent, lorsqu’on est enfant, qu’« Il ne faut pas jouer avec la nourriture ». L’origine de cette maxime se perd dans le temps mais on imagine très bien sa raison : respecter la nourriture et le travail de ceux qui la préparent. Autrement dit, manger est une affaire sérieuse. Cette mentalité n’est sûrement pas étrangère au traitement de la nourriture dans les œuvres humoristiques franco-belges. Soit la nourriture n’est utilisée qu’en tant que contexte. Le repas est en effet un ressort souvent utilisé pour mettre en avant les personnalités et interactions des personnages : on pense alors au repas qui introduit l’histoire des Lauriers de César ou encore le petit déjeuner avec la grand-mère de Lou dans La Cabane. Soit, la nourriture est utilisée pour caractériser un personnage comique, tels que ceux décrit par Claude Fischler dans La symbolique du gros (Fischler, 1987, p. 255-278) : on peut songer à Hugo dans Titeuf ou Averell dans Lucky Luke. On constate alors que la nourriture entoure et contextualise la comédie dans l’humour franco-belge mais n’est pas le sujet central.

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Podcasts
27 juin 2024

Ep.64 : Julien Neel

Dans cet épisode, nous accueillons Julien Neel, à partir du 13 juillet (et jusqu'au 9 mars 2025), La Cité consacre au sein du musée une grande exposition à l'univers de Lou !, l'héroïne de Julien qui fête cette année ses 20 ans !

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