archives 2018 des rendez-vous de la cité

Du 11 au 27 mars, le cinéma de la Cité participe au festival de patrimoine "Toute la mémoire du monde, hors les murs" en partenariat avec l’ADRC, l’AFCAE et la Cinémathèque française. Au menu de cette troisième séance exceptionnelle à 3,50€ pour tous, un étonnant hommage du grand cinéaste italien Mario Bava, réalisateur du Masque du démon et maître du cinéma de genre, au chef-d’œuvre Les vikings de Richard Fleischer. Devenue La ruée des vikings sous une affiche à faire saliver tous les amateurs de fumetti et cinéma bis, cette version transalpine fit trembler en 1963 bien au-delà de Cinecitta. Une authentique gourmandise cinéphile, à déguster sans modération !

En partenariat avec l’association Déambulations mystiques, le cinéma de la Cité vous invite à un voyage gustatif, sensoriel et spirituel à travers la (re)découverte du long-métrage Les délices de Tokyo de Naomi Kawase. Deux ans avant Vers la lumière, la réalisatrice régalait la croisette avec les dorayakis, pâtisseries traditionnelles japonaises concoctées dans une petite échoppe devenant le centre narratif et social de son intrigue. Projection au tarif unique de 3,50€, suivie d’un débat animé par Jean-Pierre Longeat.

La Maison des auteurs – résidence d’artistes de la Cité – invite le public à découvrir les ateliers de ses résidents au cours de soirées "portes ouvertes". Pour ce nouveau rendez-vous, les auteurs-rices Noémie Honein, Jon Juarez, Sadri Khiari, Vincent Kings, Deena Mohamed, Aziz Oumoussa, Togui et Eldo Yoshimizu vous présentent les coulisses de la création et leurs projets en cours.

En complicité avec La Nef Angoulême, le cinéma de la Cité propose un nouveau rendez-vous baptisé ciné zik, pour retrouver sur grand écran des légendes ou perles méconnues des musiques actuelles. Présentée par les deux partenaires, cette première soirée en prélude au concert de Mat Bastard vendredi 23 mars, propose de (re)découvrir l’histoire mythique et tragique du légendaire bassiste des Sex Pistols et de Nancy Spungen, sa provocante groupie.

Du 11 au 27 mars, le cinéma de la Cité participe au festival de patrimoine "Toute la mémoire du monde, hors les murs" en partenariat avec l’ADRC, l’AFCAE et la Cinémathèque française. Au menu de cette seconde séance exceptionnelle à 3,50€ pour tous, un classique méconnu du film d’aventures à la française, avec Alain Delon et Lino Ventura.

Le format court à l’honneur sur grand écran ! Le cinéma de la Cité s’associe à la Fête du court métrage, opération nationale proposée par le CNC avec la participation de partenaires angoumoisins dont l’association Prenez du Relief, le Pôle Image Magelis, le Conseil départemental, GrandAngoulême, la région Nouvelle-Aquitaine, le Festival du film francophone et Cinescop-Megarama. Deux programmes exceptionnels à ne pas manquer en salle Nemo, pour petits et grands spectateurs.

Dans le cadre du festival "Toute la mémoire du monde, hors les murs" en partenariat avec l’AFCAE et l’ADRC, le cinéma de la Cité propose de (re)découvrir sur grand écran des jalons célèbres ou perles moins connues de l’histoire du septième art. Cette semaine, le chef-d’œuvre de Wim Wenders "Les ailes du désir", prix de la mise en scène à Cannes en 1987, fait ainsi son retour en salle obscure pour une séance unique présentée par l’association Hidden Circle, au tarif exceptionnel de 3,50€ pour tous.

Le retour d’un chef-d’œuvre sur grand écran ! Plus de quarante ans après la disparition d’Henri-Georges Clouzot, le cinéma de la Cité propose de (re)découvrir en salle obscure l’un des plus grands chefs-d’œuvre du cinéaste picto-charentais. Tourné en 1942 avec un casting au firmament de l’histoire du cinéma français, L’assassin habite au 21 adapte avec génie le roman d’un maître du polar d’outre-Quiévrain Stanislas-André Steeman, et confronte pour la postérité les inoubliables Pierre Fresnay, Suzy Delair, Jean Tissier, Noël Roquevert…

Le pays du soleil levant sur grand écran, passé et présent : tel est le programme de ces nouveaux rendez-vous baptisés "ciné sushi", proposés par le cinéma de la Cité en partenariat avec l’école de manga Human Academy. Sur le grand écran du cinéma de la Cité, un joyau du cinéma d’animation japonais sera suivi par un classique du patrimoine cinématographique nippon. Pour cette première édition, découvrez à 18h30 Fireworks d’Akiyuki Shimbo et Nobuyuki Takeuchi, nouveau coup d’éclat des producteurs de Your name, suivi à 20h30 du chef d’œuvre de Yasujirô Ozu Bonjour en version restaurée. Une soirée animée par Hidden Circle, au tarif préférentiel de 7€ pour la soirée.

Attention ! Spectacle exceptionnel ! En lien avec son exposition consacrée à la bande dessinée arabe, la Cité accueille l’auteur Gyps, pour son "one man show dessiné" bourré d’humour "Algé Rien", adapté de sa bande dessinée du même nom.

Il Maestro Dario Argento dans la cité des Valois ! Dans le cadre du projet Profondo Argento et en partenariat avec l’Université de Poitiers, le Pôle Image Magelis, le Tap de Poitiers, le cinéma Le Dietrich, l’Eesi et les éditions Rouge Profond, le cinéma de la Cité a l’honneur d’accueillir un grand nom légendaire du cinéma fantastique. À l’occasion de la parution en français de son autobiographie Peur (éd. Rouge profond), ne manquez pas cette une rencontre exceptionnelle suivie de la projection de son chef d’œuvre et premier long-métrage L’oiseau au plumage de cristal (1970).

Attention, choc culte sur grand écran ! À l’occasion de la parution de son roman Brune platine (éd. Marest), la Cité accueille Séverine Danflous, critique de cinéma, qui présentera aux spectateurs du cinéma de la Cité son choix de pépite en salle obscure : Faster pussycat ! Kill ! Kill ! . Le long-métrage sulfureux de Russ Meyer imposait dès 1965 un contre-modèle devenu légendaire, aux antipodes des archétypes de héros masculins et faire-valoir en jupons, et transformait une série B violente et rock’n’roll en classique unanimement loué par les futurs Quentin Tarantino, John Waters et icônes discographiques tels The Cramps. Une (re)découverte politiquement incorrecte, au tarif unique de 3,50€ et suivie d’une rencontre avec l’auteure.

En écho à l’exposition Nouvelle génération, la bande dessinée arabe aujourd’hui, présentée jusqu’au 4 novembre 2018 au musée de la bande dessinée, le cinéma de la Cité présente une sélection de nouveaux talents du septième art, émergés ou confirmés, dans le sillage des printemps et révolutions dans les pays du Maghreb et du Levant. Après l’Algérie dans Les bienheureux de Sofia Djama, c’est en France depuis la Tunisie que nous transporte Corps étranger de Raja Amari, à découvrir dès mercredi 21 février : la réalisatrice de Satin Rouge livre une œuvre forte et plurielle, abordant l’immigration, l’intégration, le désir, le rejet, la trahison… Une sortie nationale à ne pas manquer, produite par Dominique Besnehard et Michel Feller, et interprétée par Hiam Abbass, Sara Hanachi et Salim Kechiouche.

Quoi de mieux pour poursuivre ou achever ses vacances, que quelques séances de cinéma en famille ? Avant de retrouver le chemin de l’école, la seconde édition du festival Télérama enfants / Afcae réserve de belles surprises aux spectateurs petits et grands du cinéma de la Cité. Du classique et génial Buster Keaton aux sirènes manga du collégien Lou, en passant par des trésors colorés pour les tout petits et deux avant-premières exceptionnelles : un feu d’artifice de découvertes pour tous les âges ! Tarif des séances concernées : 3,50€ pour tous, enfants et accompagnants, sur présentation de la carte Pass (valable pour 2 personnes), à découper dans les numéros du 14 et du 21 février 2018 du magazine Télérama et disponible sur telerama.fr.

Pour la première fois, les libraires de la Cité vous convient à une promenade conviviale et participative dans les rayons de la librairie, pour découvrir en leur compagnie les dernières parutions.

A l’approche du quatrième anniversaire de sa disparition, la Cité célèbre un réalisateur français majeur, grand lecteur de bandes dessinées et héraut du Nouveau cinéma à l’échelle mondiale. Redécouvert à travers ses derniers grands succès publics tels On connaît la chanson ou Les herbes folles, Alain Resnais avait contribué à réinventer la grammaire et la narration du septième art, dès son chef d’œuvre emblématique Hiroshima mon amour (1959) avec Emmanuelle Riva et Eiji Okada, puis avec Mon oncle d’Amérique (1980) porté par ses comédiens Gérard Depardieu, Nicole Garcia et Roger Pierre jusqu’au grand prix spécial du jury cannois. Deux pierres angulaires d’une œuvre sans égale, que le cinéma de la Cité propose ce soir en projections exceptionnelles.

Cette année encore, l’hebdomadaire Télérama et l’Association française des cinémas d’art et d’essai (Afcae) vous proposent de voir ou de revoir les meilleurs films de l’année précédente. Un festival cinéma original qui revient sur grand écran dans la cité des Valois, et l’occasion de (re)découvrir les perles qui ont marqué l’année cinématographique écoulée, ou de les voir enfin en version originale. Également au menu, une avant-première exceptionnelle : autant de raisons pour passer cette semaine au cinéma de la Cité !

À l’occasion du Festival de la bande dessinée d’Angoulême, la librairie reçoit des auteurs en dédicace, en lien avec les expositions présentées à la Cité.

Découvrez la programmation concoctée par l’association Bonobo Stomp et ses partenaires à l’occasion de la prochaine édition du Festival de la bande dessinée, au sein de l’espace New Factory : expositions, théâtre musical, show burlesque, concerts, dédicaces...

La traditionnelle soirée du jour d’avant met la bande dessinée arabe à l’honneur, avec le vernissage de l’exposition Nouvelle génération, la bande dessinée arabe aujourd’hui à 19h30, suivi d’une pause gourmande autour d’un thé à la menthe et de pâtisseries. Cette soirée sera également l’occasion de découvrir l’exposition consacrée à Alix, et de participer à la Nuit du jour d’avant, à partir de 21h à la New factory, avec au programme des concerts et spectacles ! L’entrée est libre pour tous.

Une évasion outre-Pyrénées un soir de janvier : c’est le programme du cinéma de la Cité proposant deux des meilleurs longs-métrages espagnols de l’année écoulée. Avec Psiconautas adapté de sa bande dessinée éponyme (éditions Rackham), Alberto Vázquez entraîne son coréalisateur Pedro Rivero dans une réinvention poétique et cauchemardesque de l’animation baroque, telle une rencontre entre René Laloux et Martin Winshluss fantasmée par Lewis Carroll et Guillermo Del Toro. De son côté, Rodrigo Sorogoyen détourne brillamment les codes du thriller et offre à Roberto Álamo le Goya 2017 du meilleur acteur, avec Que dios nos perdone, polar poisseux et haletant dans la moiteur d’un été madrilène où se croisent les « indignés », le pape Benoît XVI et un insaisissable serial-killer… Deux perles sombres interdites aux moins de 12 ans, au tarif préférentiel de 7€ pour toute la soirée.

Le cinéma de la Cité propose de débuter l’année en salle obscure et sous le soleil italien, avec une soirée saluant la nouvelle génération de cinéastes transalpins. Après Viva la libertà, Roberto Andò dirige la star de La Grande Belleza, Toni Servillo, dans Les Confessions, thriller politique dans les secrets d’alcôve du G8, au casting international dont Daniel Auteuil, Connie Nielsen et Marie-Josée Croze. A redécouvrir également, J’arrête quand je veux de Sydney Sibilia, qui saluait en 2014 la fin des années Berlusconi avec cette comédie grinçante et jubilatoire, digne héritière des grandes heures de la satire sociale entre Ettore Scola et Dino Risi, avec quelques touches de trash anglo-saxonnes : « indispensabile ».