grigris - la Cité internationale de la bande dessinée et de l'image
Facebook Twitter YouTube instagram familles et jeune public groupes scolaires et parascolaires visiteurs en situation de handicap
FR | EN
Acheter vos billets en ligne
le musée dispose d’une application de visite, prévoyez votre smartphone et vos écouteurs pour en profiter
accueil > à l'affiche au cinéma > grigris

grigris

Réservation en ligne imprimer cet article recommander cet article partager partager partager sur Facebook partager sur Twitter partager sur Google+
Tchad - 2013 - 1h41
film - film francophone
de

Mahamat-Saleh Haroun

avec : Ahidjo Moussa, Rémadji Adèle Ngaradoumbaye, Youssouf Djaoro, Hadjé Fatimé N'goua, Anaïs Monory, Marius Yelolo, Souleymane Démé, Cyrus Nersy, Tom Haroun, Lian Xehua, Xavier Girou, Ahmed Taïgue, Abdel Salam Mahamat, Achouackh Abakar , Emmanuel M'Baïde Rotoubam, Abakar M'Baïro, Cyril Gueï
séances : semaine du mercredi 11 août 2021
mercredi 11 jeudi 12 vendredi 13 samedi 14 dimanche 15 lundi 16 mardi 17
19:00*
 14:30*
 20:45*
séance spéciale :
* cycle cinéma africain pour accompagner l'exposition Kubuni, les bandes dessinées d’afrique.s du musée de la bd, plus d'infos

synopsis

Alors que sa jambe paralysée devrait l'exclure de tout, Grigris, 25 ans, se rêve en danseur. Un défi. Mais son rêve se brise lorsque son oncle tombe gravement malade. Pour le sauver, il décide de travailler pour des trafiquants d'essence…
- voir la bande annonce

extrait(s) de presse

Libération - Il est remarquable (...) que "Grigris" soit filmé à hauteur d’homme sans que jamais le regard soit pleurnichant. (...) [Dans le film de Mahamat-Saleh Haroun,] la subtilité se dit en dialogues minimums qui repoussent le pittoresque, et en plans "pauvres" qui fuient l’exotisme.
Les cahiers du cinéma - Les films du Tchadien ont toujours cette douceur assurée, cette manière de regarder sans jamais forcer l’adhésion du spectateur, cela fait leur prix et leur beauté
Critikat.com - Les visées esthétiques de Haroun ne versent pas dans l’esthétisme complaisant (ou, encore pire, dans une esthétisation de la misère), car si elles visent bien l’impact plastique, elles demeurent toujours inséparables d’un récit où survie et fatalité se regardent en chiens de faïence, d’un œil noir.
Télérama - Mahamat-Saleh Haroun (...) frôle parfois le polar mais n'abandonne pas pour ­autant son goût d'un cinéma contemplatif, fait de plans longs, superbement composés.